hola,
Nouveau message, mais celui vient de Potosi.
Apres avoir passé une derniere journee avec Julian, Alyson et Juliana, j'ai pris le bus direction La Quiaca à la frontière avec la Bolivie. Après avoir attendu pendant deux heures un bus qui n'arrivait pas, on s'est finalement mis en route vers 2 heures du matin. On est arrivé a La Quica vers 9 heures du matin. Il faisait encore nuit et la buée sur les vitres avait gelée. Dehors, température aproximative : 0 degrés. Cela s'explique facilement par l'altitude, on était à la Quica à près de 3600 mètres d'altitude. J'ai dû alors sortir tout ce que j'avais de plus chaud pour ne pas mourrir de froid. Après cela il a fallut passer la frontière. Encore à moitié endormi je suis passé de l'autre côté du pont qui symbolise la frontière en ne me faisant pointé ni à un poste frontière ni à un autre. La situation me parraissant un peu étrange, j'ai fait marche arrière pour régulariser ma situation. On dit que Villazon, la ville frontière avec l'Argentine est encore très argentine, il y a quand même un monde qui change. Tout d'abord tout ce qui concerne les gens. Tous les images ou les clichés que l'on peut avoir sur la mama bolivienne sont vrais. Elle sont toujours habillées selon les coutumes et les traditions : la Chapeau, les jupes très larges, et le baluchon sur le dos qui semble être impossible à porter. Car oui, ici ce sont les femmes qui travaillents, ce sont elles qui portent les charges et qui sont dans la rues pour vendre leur récoltes. Niveau prix le changement est lui aussi allucinant. J'ai pu manger un soupe (plat très typique ici) pour 6 bolivianos, ce qui vaut en euros 60 centimes. J'ai ensuite été acheté mon billet pour Potosi. Le seul problème était que celui-ci était à 19 heures, qu'à Villazon il n'y avait rien à faire et que je devais trainer mon gros sac avec moi.
Les 3600 mètres d'altitudes, on les sent. La respiration est très saccadée, le souffle manque, il ya aussi le mal de tête. Au bout de deux quadras on est déjà obligé de faire une pose car on a les tempes qui vont exploser. Heureusement, Julien m'a fillé tout un sachet de feuilles de coca. C'est feuilles sont véritablement un miracle. Elles appèsent véritablement tous ces maux. N'ayant rien d'autre à faire qu'attendre, je me suis posé de le parc principal de la ville. Une fois le soleil apparu, il a commencé à faire véritablement chaud et je pense qu'en plein milieu de journée il a dû faire pr`s de 20/25 degrés. Assez pour être en pull et prendre des coups de soleil. Je me suis aussi posé dans un café de ce qu'il ya de plus simple où j'ai fait la connaissance de trois générations de femmes qui y travaillaient. On a un peu parlé de la situation du pays et il en est ressorti que c'étaient des frères de sang qui étaient en train de s'affrontrer (c'est à dire le peuple Bolivien) pour de l'économie, et que c'était très dommage. J'ai aussi fait la connaissance d'une française qui avait étudié a Mendoza pendant six mois. Notre rencontre était vraiment impromptue. Tout est parti du fait qu'elle était à la recherche d'un guide sur la Bolivie. M'identifiant comme touriste on a commencé à parlé. Cela à duré près de 8 huit heures, sans presque jamais aborder le sujet du guide.
Le soir venu j'allais enfin pouvoir prendre mon bus. C'est à ce moment là que j'ai fait la différence entre l'Argentine et la Bolivie. Dans la gare routière, c'était véritablement l'anarchie ! Tout se bousculait, les gens les couleurs. On se prenait des gaz d'échappement directement dans la gueule. Les payans du coin chargeaient les bus avec tout ce qu'ils avaient récolté. Les billets se vendaient à l'arrachée, à celui qui criait le plus fort. Des enfants pas plus agés de quatre ou cinq ans vendaient des produits des plus inutiles. La gare routière n'était presque pas éclairée et le mélange de tout cela donnait un joyeux bordel.
Le car était sencé avoir des lits semi-cama, un télé, un chauffage. Rien de tout cela. C'était véritablement un car défoncé de partout. Les télés étaient percées, il n'y avait pas de chauffage malgré le froid et l'eau coulait dans le bus.
Il parait que la route Villazon- Potosi est la pire du pays. Je veux bien le croire : un chemin de terre pendant près de 10 heures avec tout ce qui va avec. Le dépaysement le plus total quoi. On est arrivé à 5 heures du matin sur Potosi. L'auberge que j'avais choisi était pleine. J'ai dû me rabattre sur un truc à 7 euros la nuit ( pour ici, c'est énormement). C'est bien ça qui est drôles avec les prix ici, ils évoluent véritablement en fonction de ta face. Etant touriste je paye toujours le prix fort. C'est à dire pour 10 heures de bus 4,5 euros...
La ville de Potosi à l'air super sympa. Une vieille architecture qui date du XVI eme siècle. Cependant, malgré la feuille de coca, les 4000 mètres d'altitude sont difficiles à s'habituer. Après deux quadras, complêtement essouflé, je me suis assis sur un banc, et là, quatre petites boliviennes m'ont offert une empanada. J'ai trouvé cela vraiment super sympas de leur part. Bon normalement ce soir je dois dormir chez Alienor une française qui vit ici et qui je l'esp`re pourra m'aider dans mon projet.
Suerte.
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1 commentaire:
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